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Reflection dévoûtée : une Bourgeoise médiévale en prière, 1847
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À propos de cet article
Titre : "Réflexion pieuse : Une bourgeoise médiévale en prière".
Description : Cette estampe présente une image sereine d'une femme, étiquetée comme bourgeoise, engagée dans un acte de dévotion. Sa tenue reflète un statut modeste mais raffiné, qui convient à une femme de la classe moyenne de la société médiévale.
Elle est vêtue d'une robe longue ou d'une robe d'une teinte douce, qui tombe doucement sur le sol, transmettant un sentiment de simplicité et d'humilité. La robe est cintrée à la taille, créant une silhouette gracieuse qui est à la fois modeste et conforme à son statut.
Par-dessus sa robe, elle porte un manteau ou une cape qui se drape autour de ses épaules et descend, avec des bordures détaillées visibles qui ajoutent un élément décoratif subtil à sa tenue. La texture de la cape est finement rendue, suggérant un tissu de qualité qui dénote sa position respectable dans la société.
Sa tête est couverte d'une guimpe et d'un voile, des couvre-chefs traditionnels pour les femmes de l'époque, qui symbolisent la modestie et la piété. La guimpe encadre son visage, attirant l'attention sur son expression calme et contemplative.
Ses mains sont jointes devant sa poitrine, tenant un chapelet qui sert de point focal pour la prière et la méditation. Les perles offrent un contraste saisissant avec sa tenue pâle, leur couleur rouge symbolisant la passion et la souffrance du Christ, thèmes courants dans les pratiques de dévotion.
Sa posture et ses yeux fermés indiquent un moment d'introspection ou de prière, reflétant l'importance de la foi et de la dévotion personnelles dans la vie des laïcs médiévaux. L'image capture un moment de spiritualité et l'intériorité d'une femme qui trouve réconfort et force dans sa foi.
Les couleurs ont un bel éclat. Historiquement, le blanc d'œuf, appelé glair, et parfois le jaune d'œuf étaient en effet utilisés dans l'enluminure et la peinture, en particulier dans les manuscrits, pour donner aux couleurs un aspect plus brillant et ajouter un éclat ou une brillance à l'œuvre. Cette technique était très répandue au Moyen Âge et à la Renaissance.
Les blancs d'œuf peuvent être appliqués comme vernis sur les pigments afin d'en renforcer l'éclat et de protéger les couleurs. Cette application peut rendre les couleurs plus vives et ajouter une légère brillance à la surface de l'image.
Le jaune d'œuf, quant à lui, était couramment utilisé comme liant dans la peinture. Elle forme la base de la peinture à la détrempe, un médium largement utilisé avant l'avènement de la peinture à l'huile. Le jaune d'œuf permet de créer une couleur durable et résistante qui adhère bien à diverses surfaces.
Dans le contexte de l'estampe de 1847, il est moins probable que des blancs ou des jaunes d'œuf aient été utilisés directement sur l'estampe, étant donné qu'à cette époque, les procédés d'impression commerciale étaient plus avancés et moins dépendants de ces méthodes manuelles. Toutefois, si cette estampe est une représentation d'un style antérieur ou est destinée à imiter l'apparence de manuscrits peints à la main, les artistes originaux peuvent avoir utilisé des techniques ou des matériaux donnant un effet similaire à ceux obtenus avec des liants et des vernis à base d'œuf.
- Dimensions:Hauteur : 27 cm (10,63 po)Largeur : 18 cm (7,09 po)Profondeur : 0,02 mm (0 po)
- Matériaux et techniques:
- Période:
- Date de fabrication:1847
- État:Bien. L image elle-même est propre et a été coloriée à la main il y a près de 200 ans, avec des couleurs explicites. Papier vieilli avec une teinte typiquement chaude, jaune-brun, principalement sur les bords. Étudiez attentivement l image.
- Adresse du vendeur:Langweer, NL
- Numéro de référence:Vendeur : BG-13635-511stDibs : LU3054337895002





